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Le génome Tome 1 : Alerte à Kuala Lumpur

En 2025, la Docteure Julia Demers, éminente microbiologiste-infectiologue et virologue canadienne, reconnue mondialement pour son expertise dans le domaine des coronavirus, accepte une mission au Malaysia Genome Institute de Kuala Lumpur, le MGI. Accompagnée de deux collègues et d’une équipe internationale de scientifiques, sa mission est de mettre en lumière d’éventuelles manipulations d’origine humaine dans le génome du virus SARS-CoV-2. Ce qui pourrait s’avérer une catastrophe planétaire…

            Cependant, son enquête prend un tournant sinistre lorsque des décès suspects se multiplient autour d’elle. Existe-t-il un lien entre ces pertes de vie étranges ? La situation devient davantage personnelle lorsque sa fille de quatre ans, Marjorie, et son mari disparaissent mystérieusement de leur domicile au Québec. Qui leur vaudrait du mal et pourquoi ?

            À travers ces événements troublants, Julia fera la rencontre d’une alliée, la redoutable Malaisienne Eidah, spécialiste du Silat Seni Gayong, un art martial traditionnel malaisien dans lequel elle est une experte en maniement d’armes. Ensemble, elles devront faire preuve de courage et de détermination pour affronter des adversaires, parfois plus grands que nature !

            Une véritable course contre la montre s’engagera sur deux continents, mettant en jeu la vie de Julia, de sa famille, de son amie et peut-être même celle de millions de personnes…

Le génome Tome 2: Mission EXIT

En 2035, la virologue canadienne Julia Demers participe à une conférence internationale sur les maladies émergentes au CDC d’Atlanta aux États-Unis. Elle est accompagnée d’un collègue virologue et généticien, le docteur Garry Johnson, qui doit y donner une conférence concernant une flambée épidémique de la variole simienne ou variole du singe. Tous les éléments sont réunis pour que leur séjour se passe bien. Cependant, après un souper agréable pour célébrer les performances de Gary, ceux-ci disparaissent sans laisser de traces…

            Mais le malheur ne s’arrête pas là. D’autres événements tragiques se produisent. Tous les échantillons du virus de la variole humaine sont dérobés simultanément dans les deux seuls centres de préservation autorisés par l’OMS, soit justement au CDC d’Atlanta et dans un laboratoire à haute sécurité en Russie. Un virologue et deux techniciens du CDC d’Atlanta sont retrouvés morts.

            Les autorités des États-Unis et de tous les pays sont en état d’alerte maximale. Une vaccination à grande échelle s’amorce à vitesse grand V. Le virus de la variole humaine constitue une arme extrêmement puissante à l’état naturel, mais s’il advenait que le génome de ce dernier soit manipulé, cela pourrait constituer la plus grande menace que l’humanité ait jamais connue…

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